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8 conseils pour votre prochaine SUP Race
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8 conseils pour votre prochaine SUP Race

La saison des courses de SUP Race approche alors voici quelques conseils pour être bien préparé le jour J.
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1 – Quant et que manger avant une SUP Race ?

Manger avant de fournir un effort physique comme en SUP Race est important pour vous donner l’énergie nécessaire. Ceux qui font du running vous le diront, pour réussir votre course, vous devez stocker un maximum de glycogène. Il faut donc privilégier les aliments suivants :
– Les aliments riches en glucides comme les pâtes, le riz, le quinoa, la patate douce, la pomme de terre, le muesli, les fruits, etc.).
– Limiter tous les aliments riches fibres 48 heures avant la course.
– Des protéines maigres comme les volailles, les œufs, le poisson blanc, le thon, etc.
Idéalement, le repas d’avant course doit être terminé au moins 3 heures avant pour laisser à votre corps le temps de digérer. 

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2 – Un bon échauffement avant une SUP race

Merci aux organisateurs qui l’intègrent de plus en plus avant un départ. Bien s’échauffer avant une SUP Race est tout aussi important que de bien s’alimenter. En effet, l’échauffement aura pour but de vous préparer mentalement et physiquement, avant votre effort. On commence par un échauffement articulaire. Ensuite un échauffement musculaire pour terminer par un échauffement cardiovasculaire.

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3 – Ne pas oublier son sac d’hydratation

Cela semble idiot de le dire ! Et bien non, en participant à de nombreuses courses de stand up paddle, j’ai vu trop de personnes sans Camelbak. Pourtant, l’hydratation est primordiale pour garder son corps en état de fournir un effort intense. Avec un corps bien hydraté, vous pouvez transpirer tout en gardant dans votre corps la bonne quantité d’eau. La déshydratation peut même être dangereuse à un certain niveau. Dites-vous que lorsque vous avez soif, c’est un déjà le signe que vous êtes déshydraté. Il est conseillé de consommer 5 à 7 ml de liquide par kilo de poids de corps. Et 4 heures avant le départ. Pour un sportif de 70 kg, cela correspond à 350 à 500 ml. Vous pouvez aussi commencer à boire beaucoup de liquides les jours précédant la course ainsi que le jour de la course. Mais évitez l’alcool 🙂

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4 – Gérer son énergie le long de la course

On a trop souvent envie de tout donner dès le départ, afin d’être bien placé. En effet, c’est important. Mais si vous brûlez toutes vos ” cartouches ” dès le début, quelle énergie allez-vous avoir en fin de course. Les meilleurs savent gérer cela très bien et ne pagaient pas à 100 ou 120 % uniquement le dernier quart de course. Le Sprint final est souvent ce qu’il y a de plus grisant. Enfin, c’est toujours bien pour le moral de gagner quelques places en fin de course.

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5 – Bien écouter les consignes de course

Est-ce qu’il y a de mauvais élèves parmi vous ? La réponse est oui 🙂 Et même chez les pros … Combien de fois cela est arrivé que les premiers se trompent de parcours ? La réponse est que cela arrive à tout le monde, même aux meilleurs. Alors restez concentré et la veille de la course regardez bien le parcourt, il est souvent donné en avance. Et écoutez le directeur de course avant celle-ci, car parfois, avec la météo, les organisateurs peuvent le modifier.

6 – Bien se placer dés le départ

Que ce soit sur un water start ou un beach start, vous pouvez gagner des places avec une bonne position de départ. Analysez le vent, le courant et regardez où est la première bouée. Quoi qu’on en pense, la ligne droite n’est pas toujours la bonne solution. Voici un exemple pour la course du Nautic de Paris ou la Traverseine par exemple. Au début, je me mettais au milieu. Le problème est qu’on se retrouve avec le clapot provoqué par les autres venant de la droite et de la gauche. On appelle cela un clapot de cisaillement. Les premières fois, je tombais souvent au départ. Après, j’ai réfléchi et je me suis mis complètement de côté. À partir de ce moment-là, je n’avais plus qu’à gérer le clapot que d’un côté. Du coup, je suis plus stable, je vais plus vite et je me place bien même si je parcours quelques mètres de plus. Cette technique m’a permis de finir en tête sur de nombreuses courses et de faire des podiums.

7 – Se trouver un et des “lièvres”

Tous les pros vous le diront, il faut se trouver un et des objectifs pendant une course. Pour les meilleurs, cela peut être de finir premier, mais pour beaucoup d’entre nous, cela peut être d’être devant un(e) partenaire. Alors dès le départ, n’hésitez pas à vous mettre à côté d’une personne avec un objectif atteignable voir challengeant. C’est ce que l’on fait en club par exemple, on appelle cela se trouver un “lièvre”. Et ça fonctionne si on arrive à suivre son rythme en le draftant. Bien évidemment, le bit final est de se trouver différents lièvres au fur et à mesure de la course, de les dépasser les uns après les autres.

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8 – Garder le mental du début à la fin

C’est peut-être ce qu’il y a de plus dure. Et c’est ce qui fait parfois la différence entre nous et les pros. Il est important de rester positif et d’y croire jusqu’au bout. Un des moyen d’y parvenir est de rester concentré sur l’objectif final qui est de terminer la course. Il faut aussi trouver du plaisir à se dépasser et n’oubliez jamais le plaisir que cela procure. Parfois se faire du mal physiquement vous apportera une auto satisfaction une fois le challenge relevé.

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