Comment as-tu connu le stand up paddle ?
J’ai connu le Sup grâce à mon père, passionné de planche à voile, il a vu que le stand up paddle avait un énorme potentiel et il a voulu immédiatement s’y mettre. Il m’a fait tester, et j’ai immédiatement accroché à ce sport.
Te souviens-tu de ta première session ?
Ma première session remonte à l’été 2012, à l’Ile de Ré. A peine monté sur la planche, j’ai tout de suite été impressionné par la simplicité de ce sport. Ensuite, ma première session dans les vagues remonte à la même période: encore sur l’Ile de Ré, dans de petites conditions.
Quelle est ton matos de prédilection et que peux-tu nous dire sur lui ?
Je ride sur deux planches: en race, je rame avec une Falcon Fanatic (12’6″ par 24″75) 2016, une planche super en downwind et performante sur le flat. Ma seconde board est une Fanatic pro wave 7’11” par 27″5, une planche de sup surf qui tourne vraiment bien en bas de vague et que l’on peut sortir dans presque toutes les conditions.
Quel est ton spot préféré et quels conseils peux-tu nous donner sur celui-ci ?
En sup race, mon père et moi ramons beaucoup sur le bassin d’Arcachon, un endroit magique, où on peut ramer tout le temps quand la marée est haute (en faisant tout de même attention aux parcs à huitres). En sup surf, on ride beaucoup au Grand Crohot (au Cap ferret) et à Lacanau. Ce sont deux spots similaires, des vagues puissantes qui deviennent facilement dangereuse avec un peu de taille. Mais ses spots peuvent être parfaits si les bancs de sable sont bien calés.
Le mot de la fin ?
Je suis à fond engage en Sup Race après mes titres de Vice-Champion de France -15 ans en 2014. Je viens aussi de faire le premier stage fédéral Sup Race pour les espoirs et veux continuer à faire plein de bons résultats et m’éclater.
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