ls se disputeront sur le spot de Cloudbreak (paddle surf) et autour d l’île de Denarau (paddle race). C’est désormais officiel : les Mondiaux de Sup 2017 se disputeront bien sur le spot world class de Cloudbreak. Une vague de récif exceptionnelle pouvant déferler jusqu’à 4 mètres en offrant des tubes incroyables. Situé au large de l’île de Tavarua, Cloudbreak accueille notamment une étape du Championship Tour de la World Surf League (en juin). Une période d’attente de sept jours permettra à l’organisation de choisir les 3 meilleures journées pour la compétition.
Une longue distance en ligne droite
Les quatre autres journées seront consacrées aux courses, longue distance et technical race. Le tracé de la longue distance (20 kilomètres) a d’ores et déjà été tracé et dévoilé la nuit dernière par l’ISA. Le départ se fera en plein océan (certainement au large de l’île de Tavarua) pour un downwind en direct vers Musket Cove, sur la côte ouest de l’île principale des Fidji. La technical race et le relais se disputeront, eux, sur Denarau Island, la station balnéaire située également sur la côte ouest des Fidji. Plusieurs boucles et des passages à terre sont prévus pour la technical race.
Une 5e édition avec (encore) du Paddleboard
Championne d’Europe avec cinq titres individuels sur six possibles le mois dernier à Lacanau, l’équipe de France tentera une nouvelle fois de briller après les titres mondiaux d’Antoine Delpero (surf) en 2012 et de Titouan Puyo (race) en 2014.
Il s’agira de la 5e édition des championnats du monde de Stand Up Paddle organisés par l’ISA. L’an dernier 260 athlètes de 27 nations avaient participé à l’évènement à Sayulita, au Mexique.
Ces Mondiaux accueillent également le Paddleboard, une discipline dont la Fédération Française de Surf n’a pas délégation. L’équipe de France n’a donc malheureusement jamais pu concourir avec une formation au complet. 11e du classement des nations l’an dernier, la France aurait toutefois terminé 3e d’un classement ne comportant que le Stand Up Paddle. La discipline pour laquelle l’ISA a la délégation mondiale, et dont elle a réussi l’intégration pour les Jeux Pan Américains 2019. « Signe d’une possible inclusion (du SUP) pour les Jeux Olympiques 2024 », affirme l’ISA.
L’équipe de France
Surf : Antoine Delpero, Benoît Carpentier, Caroline Angibaud
Race : Titouan Puyo, Arthur Arutkin, Olivia Piana
Source : FFDS