L’OC1, cette pirogue polynésienne nécessite une bonne maîtrise des mouvements et des postures. Par conséquent, l’article aborde la mobilisation des différentes parties du corps. Il divise le coup de pagaie en quatre phases pour maximiser l’efficacité. Chez Woo Outrigger, leur modèle pour débuter en OC1 est la OC1 KAWAN.
Le coup de pagaie en OC1 combine des techniques du canoë et du kayak surfski. Les muscles sollicités incluent la ceinture scapulaire, les membres supérieurs et le tronc. De plus, les membres inférieurs et le bassin jouent un rôle crucial. La main supérieure tient l’olive, tandis que la main inférieure tient le manche. Le buste et les bras sont aussi impliqués.
Les quatre phases d’un coup de pagaie efficace
L’article détaille quatre phases pour un coup de pagaie efficace. La première phase est la position d’attaque. Le bassin est en antéversion, le buste légèrement incliné vers l’avant. Ainsi, le rameur engage les épaules, le buste et le bassin vers l’avant. La jambe du côté de la main inférieure est fléchie.
Ensuite, la deuxième phase est la mise en action, traction/propulsion. Elle commence par la rotation des épaules et du bassin. La poussée de la jambe simule un mouvement de pédalage. La main inférieure reste près de la pirogue, tandis que la main supérieure reste stable, sans descendre sous la ligne des épaules.
La troisième phase est la sortie d’eau. Cette phase est cruciale pour éviter de freiner la pirogue. Pour cela, la pale doit sortir de l’eau avant que le bassin ne l’atteigne. Le mouvement de sortie commence dès que la pale atteint les genoux. De plus, la main supérieure se décale légèrement sur le côté opposé.
Optimisation et adaptation de la technique
La dernière phase est le retour aérien. Elle permet de se repositionner pour une nouvelle attaque. Ainsi, la main supérieure reste au niveau de la ligne d’épaule. La main inférieure revient en position de départ.
Pour optimiser l’efficacité, il est conseillé de changer de côté régulièrement. En effet, cela aide à réduire la fatigue musculaire et à améliorer la performance. Sur des eaux calmes, il est recommandé de changer de côté tous les 10 à 15 coups. De plus, l’article propose des exercices pour améliorer la technique, comme utiliser des pales de tailles variées.
Enfin, il est important d’adapter sa technique aux conditions de l’eau. Les forces de l’océan sont souvent supérieures à celles du rameur. Par conséquent, la technique de rame aide à optimiser l’effort pour profiter des conditions. Cela peut aider à attraper les vagues ou à maintenir la vitesse sur des eaux calmes.
Conclusion
En conclusion, maîtriser les quatre phases du coup de pagaie est essentiel en OC1. De plus, il faut adapter la technique en fonction des conditions de l’eau. Ces principes maximisent l’efficacité de la rame et préviennent la fatigue. En suivant ces conseils, on améliore sa technique et sa performance globale. Cela minimise aussi le risque de blessure, assurant une pratique durable et efficace.
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